en désignant par des quantités quelconques indépendantes de et qui doivent conserver leurs valeurs pour toutes les molécules.
Présentement les différentielles totales de prises en regardant le temps comme constant, donnent identiquement
lesquelles, au moyen des résultats que nous venons d’obtenir, se réduiront à
qui, par leur intégration, nous donneront pour les valeurs suivantes :
(2)
dans lesquelles sont des quantités indépendantes de mais d’ailleurs arbitraires.
Avant de substituer ces valeurs de dans l’équation (1),