Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1830-1831, Tome 21.djvu/158

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or, cette équation est satisfaite si l’on pose, ce qui est permis,

d’où on tire, en nommant deux constantes arbitraires

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La somme de ces quantités sera la valeur de et l’intégrale l’équation proposée si toutefois la suite infinie, fournie par cette somme, est une suite convergente ; circonstance dont il est facile de s’assurer, comme on va le voir. On considère séparément les deux séries