velu, long de 2 centimètres est inséré dans une cavité étroite et peu profonde. La rainure est peu apparente.
La peau est épaisse, rouge-brun à sa maturité, plus claire du côté de l’ombre et ponctuée de jaune, elle se sépare facilement de la chair, celle-ci est blanche jaunâtre, juteuse, d’une saveur riche, sucrée, très-agréable.
Le noyau, peu adhérent, est petit, ovale, rugueux sur les deux faces, un peu obtus aux extrémités, ventru au milieu ; les arrêtes dorsales sont aigues, séparées par deux rainures, l’arrête ventrale plus obtuse.
L’arbre, d’une vigueur moyenne, a son bois et ses rameaux de l’année, uniformément bruns et duveteux, les gemmes sont très-apparents.
Les feuilles, moyennes, ovales, serretées, sont légèrement pubescentes, leur pétiole est assez court.
Jusqu’à présent, nous ne possédons l’Isabella qu’en pyramide, il est probable qu’elle réussirait également sous toute autre forme.