ཆོས་བསམ་མི་ཁྱབ་པ་བསྟན་པ. « Où l’on montre que l’esprit ne peut concevoir les vertus d’un Buddha. »
40. Sangs-rgyas kyi-mts’an-rgya mts’o-bstan-pa, སངས་རྒྱས་ཀྱི་མཚན་རྒྱ་མཙོ་བསྟན་པ, « explication du terme Océan, une des épithètes ou un des noms du Buddha. »
41. Dpe-byad-kyi-hod-zer. དཔེ་བྱད་ཀྱི་འོད་ཟེར, « rayons brillants de tous les signes de beauté (sur le corps d’un Buddha) ».
42. De bjin-gçegs-pa-skye-va-dang-hbyung-va, དེ་བཤིན་གཤེགས་པ་སྐྱེ་བ་དང་འབྱུང་བ, « la naissance et l’apparition d’un Tathâgata ou Buddha. »
43. Hjig-rten-las-hdas-pa, འཇིག་རྟེན་ལས་འདས་པ, « son départ du monde (ou sa délivrance de la peine, sa mort). »
44. Sdong-pos-brgyan-pa, སྡོང་པོས་བརྒྱན་པ (l’endroit), « orné d’arbres plantés » (nom d’un traité sur des sujets de morale).
45. Bzang-pos-spyod-pahi-smon-lam, བཟང་པོ་སྤྱོད་པའི་སྨོན་ལམ « la prière de celui qui fait le bien », ou « une prière pour faire le bien. » Telles sont les matières contenues dans les six volumes, comme elles sont indiquées d’après la division en quarante-cinq chapitres. Il y a une autre division artificielle des six volumes en cent quinze sections (tib. Bam-po), mais on n’en indique pas le contenu.
Ces six volumes ont été traduits au ixe siècle par le Pandit indien Surendra Bodhi et le Lotsava tibétain Bairotsana Raxita.
La 4e grande division du Kah-gyur est appelée Dkon-mchog-brtsegs-pa ou par contraction Dkon-brtsegs (prononcé Kon-tsegs), en sanscrit Ratna-kâta, « sommet de joyaux » ou « amas de choses précieuses » (ou encore « énumération de diverses qualités et perfections du Buddha avec ses instructions »). Comme dans la division précédente, on y traite de morale et de métaphysique entremêlées de légendes et de résumés des principes du bouddhisme.