Page:Anonyme – Bordel patriotique, 1791.djvu/48

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

cellent enfonceur ! j’ai cru qu’il m’auroit percé le fondement d’outre en outre. Je vais preſentement, Madame, me laisser grimper par mon favori Barnave. Rien n’eſt tel que de varier ſes jouissances.

Barnave (fout la Théroigne en con & Bailly encule Barnave ; la Fayette remonte ſur la Reine qu’il refout avec vigueur.)

La Théroigne (à Barnave.)

Allons, mon ami, fout moi à couillons rabattu, fous-moi en levrette pour gagner quelques pouces, & lâche-moi des flots de foutre.

Barnave.

Préſentez-vous bien, Mademoiſelle, je vais faire péter les charnières de votre con ; & moi, (dit