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Page:Anonyme - Al-Cheil et Esou-Li.djvu/4

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Ô trop chère ESOU-LI ! Toi qui ne m’aimes plus !  !  !
D’un bonheur éphémère, ô regrets superflus !
Mes beaux jours, dans tes bras, ont passé plus rapides
Que le vent du désert soufflant aux Pyramides !


AL-CHEIL
et
ESOU-LI
ou
VENGEANCE D’UNE ÉGYPTIENNE
CONTE ORIENTAL
TRADUIT DE L’ARABE ET MIS EN VERS
par
ACHILLE LAURENT.
suivi
DE NOTES EXPLICATIVES DE TOUTES LES EXPRESSIONS ORIENTALES
EMPLOYÉES DANS CE CONTE.


PARIS.
CHEZ L’AUTEUR, RUE SAINTE-ANNE, N° 36.
et chez les principaux libraires.