Page:Anonyme - Argument de « La Péri » de Paul Dukas, paru dans Les Spectacles, 28 septembre 1928.djvu/6

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» Et qu’à la fin il lui rendît la fleur sans regret.

» Alors, le Lotus sembla de neige et d’or comme la cime de l’Elbourz au soleil du soir.

» Puis la forme de la Péri parut se fondre dans la lumière émanée du calice et bientôt plus rien n’en fut visible, si ce n’est une main, élevant la fleur de flamme, qui s’effaçait dans la région supérieure.

» Iskender la fit disparaître.