roman, moitié histoire, publié sans nom d’auteur, en 1829, à Rennes, sous ce titre : Brocéliande, ses chevaliers et quelques légendes. Recherches publiées par l’auteur de plusieurs opuscules bretons[1]. L’auteur anonyme de cet ouvrage devait à M. P. Paris la connaissance du poëme dont il a rapporté quelques vers. Peu d’années après, en 1836, M. Le Roux de Lincy faisait connaître Brun de la Montaigne par une analyse développée et par quelques extraits[2], dans son ouvrage intitulé : Le Livre des légendes. Introduction[3], p.180-5 et 260-84. Une notice du même poëme a été publiée par M. P. Paris dans le t. XXII de l’Histoire littéraire de la France.
Je termine cette préface en corrigeant quelques fautes que j’ai reconnues depuis le tirage[4] : v. 16, l. avés ; 150, l. vo[s] ; 150, 160, 280, 352, etc., l. vous ; 222, l. miens ; 502, vos, sic ms., corr. vo ; 838, desous, sic ms., corr. desus ; 860, suppr. la note ; 918, l. moult ; 3022 l. pensé[e].
- ↑ On lit à la fin : « La présente compilation a été publiée aux frais et par les soins du baron de Taya (Aimé-Marie-Rodolphe), lequel fut juge en Bretagne depuis l’an MDCCCXI jusqu’en MDCCCXXX. »
- ↑ Les vers 1 à 125, 554 à 620, 627 à 662, 909 à 1122, 1208 à 1357, 1860 à 2021.
- ↑ Il n’a paru de l’ouvrage que cette introduction qui forme un vol. in-8o de xiv-286 p. — C’est d’après Le Roux de Lincy que Græsse (Die grossen Sagenkreise des Mittelalters, p. 252) mentionne Brun de la Montaigne.
- ↑ J’en ai signalé quelques autres dans le vocabulaire.