Page:Anonyme - Printemps parfumé.djvu/79

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mandarin, et, sous ces vêtements de femme, je porte mes habits d’homme.

— Oh ! ne plaisantez plus je vous prie ; vous pensez bien que je ne puis vous croire.

— C’est très sérieux, pourtant, — reprit I-Toreng, — et, si vous doutez, je vais enlever mes vêtement de femme et me montrer à vous en jeune homme. »

Mais Tchoun-Hyang, voulant pousser à bout la plaisanterie et confondre son amie :

« Eh ! bien, je vous crois, faites voir. »

Il ôta ses vêtements et apparu magnifiquement habillé en jeune homme.

« Oh ! » dit alors Tchoun-Hyang, tout à coup effrayée et attristée.

Il s’efforça de la consoler, et lui