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— Oui vous l’êtes, car si vous ne m’accordez pas cette nuit, je serai malade tout de même de chagrin. Votre cruauté est donc inutile. »
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b3/Illustration_-_Printemps_Parfum%C3%A9_-_page_97.jpg/200px-Illustration_-_Printemps_Parfum%C3%A9_-_page_97.jpg)
Elle resta pensive, attristée qu’il pût être malade par elle, et reconnaissant d’ailleurs la justesse de ses paroles :
« Il m’aime tant, je ne puis le faire tellement souffrir. »
Et s’adressant à lui :
« Enfin, jurez-moi que si je vous accorde cette nuit, vous tiendrez invariablement votre promesse de travailler dès demain.
— Je vous jure que je ne me dédirai pas. »
Alors, elle lui caressa doucement la