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tables des noms


cel), 100, 115 ; le roi lui donne le fief de Cambrésis, 118 ; 129, 144, 145, 172, 184, 328, 351, 532, 649, 687, 691, 707, 710, 977, 1096, 2122 ; celui del Maine, 1112. Tué par Bernier, 5921-5931.

Gile (saint), 6614, 8122.

Gilemer le Pohier (le conte), tué par Pierre d’Artois, 3366. Reparaît, sans doute par une méprise du poète, au vers 5411.

Girbert, roi de Gascogne, fils de Garin le Lorrain, G. 51, 206, 228, 248, 364, 369, 377, 382, 493, 542, 631, 646, 654, 680, 703, 705, 710, 718, 729, 744, 752, 754, 770. Cf. p. lii à lv de l’Introduction.

Gironvile, fief d’Hernaut le Poitevin, G. 157, 769, 776. Localité placée par le poète vers le confluent de la Garonne et de la Dordogne.

Gociaume, otage donné par le roi, 753.

Godefroi, G. 156.

Guarnier (maistre), médecin, 6270. Cf. Garnier.

Guerré, G. 449. Guerré ou Guirré figure à la fois, comme prévôt de Bordeaux, dans les Lorrains et dans Huon de Bordeaux.

Guerri ou Gueri le Sor, 14, 90, 290, 295 et passim, frère de Raoul Taillefer et oncle de Raoul de Cambrai, 3589 ; li riches sors Gueris 366 ; réside à Arras, 368 ; tient l’Artois, 740 ; G.d’Aras 618, 8502. Il commandera ceux d’Arrouaise, 1029, 1039 ; appelé G. de Cimai, 5029. cf. 5029-5042. Voyez, sur ce personnage, pp. xxiii à xxv.

Gui de Namur, G. 464.

Guichart de Biaugeu, G. 467. Cf. Biaugeu.

Guillaume de Cabloi, G. 158.

Guillaume (le comte), sire de Monclin, G. 536, 671, 683. Frère du vieux Fromont, c’est l’un des personnages les plus importants de la chanson des Lorrains.

Guinemant de Liege, fils de Gerart ; G. 441, 687, 697.

Guion, évêque de Beauvais, frère de Joifroi de Lavardin, 57. Le seul évêque de Beauvais qui ait porté le nom de Guion (Guido) occupa le siège épiscopal de 1063 à 1085, date à laquelle il embrassa la vie monastique à Cluni où il mourut en 1087 ; fils de Geoffroi et de Mahaut, il appartenait à une famille noble, mais ce que l’on sait de sa carrière ecclésiastique (Gallia christiana, IX, 709) ne permet pas de le rattacher à une famille aussi étrangère à la Picardie que l’était la maison de Lavardin. Le nom de Guion ne se trouvait vraisemblablement pas dans l’œuvre de Bertolai, ni dans la chanson que connaissait le chroniqueur de Waulsort. Si ces premières rédactions du Raoul mentionnaient un évêque de Beauvais comme ayant tenu le fils de Taillefer sur les fonts baptismaux, ce devait être Herlouin qui gouverna l’église de Beauvais de 909 (au plus tard) à 921.

Guion de Biauvez, G. 524.