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pertoire des plus étendus des pièces des trois théâtres.
Nous n’entreprendrons pas de donner ici la liste de tous les ouvrages de ce laborieux Écrivain ; elle seroit trop longue, & nos lecteurs ne nous sçauroient nul gré de rappeller des productions, dont le titre même est tombé dans l’oubli. Nous avons cité les plus estimables, qui sont la Paysanne parvenue, & Lamékis que nous imprimons ; nous y ajouterons un roman comique, qui mérite d’être lu ; c’est la Mouche, ou les espiègleries de Bigaud.
Une justice que l’on ne peut refuser au chevalier de Mouhy, & qui le distingue de nos romanciers, c’est que ses ouvrages res-