Page:Apollinaire - La Femme assise.djvu/228

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c’est moi ; l’amourr c’est la paix, et je souis l’amourr puisqué jé souis neuttrre, et lui c’est la guerre. La guerre c’est pas l’amourr, c’est la haine. Donque tou lé détestes et tou me aimes, ma petite Elbirre, oubrre-moi, oubrre à ton Pablo qui té adorres. »