Page:Apollinaire - Les Exploits d’un jeune Don Juan.djvu/87

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brune. Un geste rapide de la main gauche, sous la légère et courte robe, et j’eus sa motte, fortement poilue, en plein dans la main.

Elle serra les cuisses et se pencha un peu en avant. Je pris un tétin dans la bouche et je le suçai, tandis que mon doigt jouait avec son clitoris, que je découvris dans un état aussi excitable que possible. Bientôt ma main se glissa entre les cuisses et un, deux, trois doigts pénétrèrent dans le con.

Elle voulait s’en aller, mais je la poussai contre la muraille. Je sentais tout son corps frémir sous son léger vêtement. Vite je sortis mon vit et le poussai dans le con. La position était incommode, et comme la jeune fille était grande et forte, je n’aurais pas pu la baiser si elle n’y avait mis du sien.

Je la baisai ainsi debout. Elle devait être très chaude, car ça lui vint très vite. Pour moi aussi, j’étais sur le point de décharger à cause de la position qui était très fatigante, mais nous entendîmes du bruit dans les chambres et Ursule se dégagea. Mais le bruit cessa bientôt. Alors je lui montrai mon vit d’un rouge sombre et tout humide de sa décharge. Elle le regarda avec attention, car c’était la première fois qu’elle voyait le vit d’un monsieur de la ville, disait-elle.

« Allons, laisse-moi voir », lui dis-je.

Elle le fit pudiquement. Je levai sa jupe et pus voir ses jambes nues très bien faites et entre les cuisses dures, une sérieuse toison noire. Grâce