Page:Apoukhtine - La Vie ambiguë.djvu/173

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trait ; le fil de mes pensées se rompt et elles s’éparpillent de nouveau. Savieli et le chantre ont dormi longtemps. La lumière des cierges faiblit, et les premières lueurs d’un jour froid et clair m’ont regardé longtemps derrière les stores baissés des grandes fenêtres.