Page:Arène - La Chèvre d’or.djvu/129

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Puis, fatigué sans doute de son effort, il siffla Guerrier, se dressa ; et, me tendant la main :

— « Réussir dans cette entreprise serait beau, je vous souhaite bonne chance !… Autrefois, jeune, j’ai tenté ; mais la hardiesse ne suffit pas, il faut encore qu’on vous aime. Les hommes inventent, calculent. C’est la femme qui a la clef d’or : faites-vous aimer de Norette ! »