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Page:Arène - La vraie tentation du grand Saint Antoine - contes de Noël, 1880.djvu/109

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LE PEINTRE ET LA PIE




à mon petit ami théophile bergerat



lettrine Au temps où les tramways n’existaient pas, ce n’étaient, dans tout le quartier Montparnasse, de Vaugirard à l’Observatoire, que murs couronnés d’herbes folles, avec quelque maisonnette de loin en loin, laissant apercevoir un bout de jardin entre les liserons de sa barrière à claire-voie.