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ÉTUDE SUR P. ARÉTIN.

ces récits (3e conte de la 1re journée ; 4e de la 3e, et 9e de la 4e). Le Pentamerone a été traduit en allemand par F. Liebrecht, avec une introduction par J. Grimm (Breslau, 1846, 2 vol. in-8), et en anglais par J. Taylor (Londres, 1848), avec des gravures d’après Cruikshank ; le Westminster Review, avril 1848, p. 254-258, a rendu compte de cette traduction.

Boccaccio. Nous ne nous arrêterons pas au Decameron, ayant le projet d’en faire l’objet d’un travail spécial ; disons seulement que M. Edelestand du Méril a donné, dans son Histoire de la poésie Scandinave (1839, in-8, p. 344-360), de longs détails sur les sources des récits du conteur florentin. Ce travail, qui paraît un peu déplacé dans le volume qui le renferme, est d’ailleurs curieux, mais il pourrait être plus complet.

Brevio (Giovanni). Rime e Prose, 1545. Ce volume contient six Nouvelles ; elles sont analysées dans l’History of fiction de Dunlop, t. II, p. 409.

Cadamosto (Marco). Novelle, 1544. Voir sur ces six Nouvelles Ginguené, t. VIII, p. 462. La dernière paraît avoir fourni à Regnard l’idée et une partie des détails du Légataire universel.

Erizzo (Sebastiano). Le Sei Giornate, 1567. Les sept premières de ces Nouvelles dans la publication de Baudry ; sept autres (nos 9, 22, 24, 25, 34, 35, 36) avaient déjà paru dans le Novelliero de 1754.

Firenzuola (Angelo). Ragionamenti, 1548. Les