Page:Arétin - Sept Petites Nouvelles, 1861, trad. Philomneste.djvu/78

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quoiqu’elle prétendît se faire passer pour une vierge sans tache[1].


  1. Nous avons souvenance d’avoir vu un conte en vers français racontant le même trait. Il a pour titre : L’Oraison de sainte Marguerite. C’est à Rabelais que s’adresse la trop savante fiancée, et elle finit par le prier de mêler à l’oraison qu’il va prononcer « un tantinet de sainte Marguerite ».