Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 11.djvu/16

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Après avoir fait connattre tous les détails des expériences, il ne nous reste plus qu’à présenter les résultats qui s’en déduisent.

Pendant notre séjour à Villejuif, le 21 juin, nous nous servîmes d’un excellent théodolite de Gambey pour rattacher cette station d’abord à Montlhéry et au moulin de Fontenay, qui étaient deux sommets d’un des triangles de l’ancienne méridienne vérifiée, et ensuite au Panthéon, à l’Observatoire, à la pyramide de Montmartre et aux Invalides. De retour à l’Observatoire, nous déterminâmes de même les angles compris entre ces difTérents points, à l’aide d’un cercle azimutal qui est attaché à la partie inférieure de l’axe du grand cercle répétiteur de Reichenbach. J’ai puisé dans ces mesures divers moyens de calculer la distance du canon de Villejuif au canon de Montlhéry que j’ai trouvé de 95^9.0 toises ( 18612"I982). En la divisant par 54.6, nombre moyen de secondes que le son employait pour franchir la distance des deux stations, on trouve que 174.90 toises (340". 885) étaient, durant l’expérience du 21, l’espace parcouru par le son dans une seconde sexagésimale.

Examinons maintenant l’erreur totale dont ce résultat est susceptible