Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 11.djvu/32

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    • ̃̃ FORCES ÉLASTIQUES

lequel on mettait de la grenaille de plomb, jusqu’à ce que la charge totale fit h peu près équilibre au poids de chaque virole et du tube qu’elle portait. Par celte disposition, que l’on voit représentée en per. spective dans la figure 5, les tubes inférieurs il’étaient Fis. S._ Viw pu pçrîp«cllve du m«l« île Hiipiulon ilnlini 4 enipJdur 1« inl« iûfiTK-nts d’i-lrr comprime- ; (m los tnliM cu|i-iïi-nrs. pas plus comprimés que les supérieurs ; toute ta colonne pouvait se mouvoir verticalement d’une seule pièce par le plus léger effort, ce qui rendait très-faciles les manipulations que l’on pouvait avoir besoin d’exécuter pour la réunir aux autres parties de l’appareil. On reconnaît sur la figure /|, que la première virole était appliquée sur l’un des orifices latéraux d’un vase S