Le théorème élégant donné et démontré par Brinkley dans ce Mémoire, peut s’énoncer ainsi :
La surface d’un cylindre oblique à base circulaire, est égale à celle d’un rectangle dont un côté serait le diamètre de cette base et l’autre côté la circonférence d’une ellipse ayant pour axes la hauteur verticale du cylindre et la longueur de ses arêtes.
L’auteur s’occupe des théorèmes sur les différences finies que Lagrange donna dans le volume de l’Académie de Berlin pour l’année 1772 et qui furent ensuite démontrés par Laplace. Ce beau Mémoire n’est pas connu, ce me semble, des géomètres du continent autant qu’il le mérite. On en trouve cependant quelques extraits dans le le troisième volume du grand et excellent ouvrage de Lacroix.
La solution de ce problème, publiée dans la première