Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 3.djvu/449

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sur la parallaxe de certaines étoiles. — (Lu à la Société royale de Londres, le 5 mars 1818 ; imprimé dans les Transactions philosophiques de la même année.

Les observations faites à Greenwich, par M. Pond, avec le cercle mural de Troughton, n’ayant pas confirmé, quant à la parallaxe, les résultats déduits des observations du grand cercle mobile de Dublin, Brinkley se livre, dans ce Mémoire, à un examen minutieux de toutes les erreurs auxquelles les cercles muraux exposent les astronomes. C’est pour le fond et pour la forme, un modèle de discussion. Le mémoire renferme, en outre, de nouvelles déterminations de parallaxes basées sur l’ensemble des observations faites à Dublin, de 1808 à 1818, Brinkley trouve :

                                   Pour de la Lyre 
                                    
                                   Pour du Cygne 
                                    
                                   Pour de l’Aigle 
                                    
                                   Pour du Dragon 
                                    

(J’appelle toujours parallaxe, l’angle sous-tendu par le rayon de l’orbite terrestre.)

résultat des observations faîtes à l’observatoire du collége de la trinité, à dublin, pour déterminer l’obliquité de l’écliptique et le maximum de l’aberration de la lumière. — (Lu à la Société royale de Londres, le 1er avril 1819 ; Imprimé dans les Transactions philosophiques pour la même année.)

D’après solstices d’été observés par MM. Oriani, Pond, Arago, Mathieu, et par lui-même, l’auteur trouve, pour l’obliquité moyenne de l’écliptique.

                    À la date du 1er janvier 1813