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400. La mer Noire gela entièrement. Le Rhône fut pris dans toute sa largeur.
662. Le Danube gela, et Théodomer le traversa sur la glace avec son armée pour aller en Souabe venger la mort de son frère. Le Var gela également.
547. « En ce temps-là fut (dans les Gaules) si grande froidure que les yaues portoient les gens. » (Chroniques de Sainl-Denys.)
559. Le Danube fut gelé dans cet hiver. (Collection byzantine.)
763. La mer Noire et le détroit des Dardanelles furent gelés. (Historiæ miscellæ, lib. XX.)
801. Le Pont-Euxln. fut entièrement obstrué par les glaces. (Annales de Fulde. )
822. Des chariots pesamment chargés traversèrent sur la glace le Danube, le Rhin, l’Elbe et la Seine pendant plus d’un mois. Le Rhône, le Pô, l’Adriatique et plusieurs ports de la Méditerranée gelèrent. (Eginliard, Annales.)
829. L’année où le patriarche jacobite d’Antioche, Denys deTelmahre, alla avec le calife Al-Mamoun en Egypte. Ils trouvèrent le Nil gelé. (Abd-Allatlf traduit par S. de Sacy, p. 505.)
849. La Seine est gelée en sorte que le peuple y passe comme sur un pont. (Chronique de Saint-Vandrille de Rouen.)
860. L’Adriatique gela de telle sorte que l’on pouvait aller à pied de la terre ferme à Venise. Le Rhône gela également. (Annales de Fulde et autres.)
878. Le Rhin et la Meuse restèrent gelés pendant longtemps et praticables aux piétons. (Annales de Fulde.)
880. Le Rhin et la Meuse furent pendant longtemps traversés sur la glace. (Annales de Fulde.)
891. La Meuse est prise.
893. Le Rhône gèle.
1009. Les fleuves furent congelés dans une partie de l’Italie.
1069. Les fleuves gelèrent dans le nord de l’Allemagne.
1074. L’hiver est tellement rude que tous les fleuves en Flandre et en Allemagne sont complétement gelés. (Lambert de Schafnaburg et Martin de Tournai.) 1
1076-1077. Le Rhin est pris depuis la Saint-Martin (11 novembre)
