maints; · 177 deïenise, dans la séance du 1 septembre 1851 , un mémoire riche de faits et de profonds raisonnements sur les inhumations pré l cipitèes. Le savant docteur a examiné cette question, qui touche aux plus hauts intérêts de la société, avec un rare talent d’obser- nteur et avec tout le zèle d’un ami de l‘humauité. Honneur à la science qui se met ainsi au service du bien public. Nous nous proposons de revenir plus amplement sur ce travail remarquable. On sait que ce sujet a été traité avec beaucoup de talent à Berlin pour la première fois, il y a soixante ans, par H. le docteur Marcus i Hertz. r — Le L janvier dernier est mort M. Ghirondi, Grand·Rabbin l de Padoue. Né dans cette ville en octobre 1799, il a exercé, de- i puis 1851, les fonctions de Grand-Rabbin. Il est vivement re- gretté par sa communauté et par tous les israélites italiens. Il laisse la réputation d’un homme pieux, bon, savant et zélé. ll a publié plusieurs ouvrages en hébreu, notamment DMD WDRD l'•'tt2tI'l sur les puits art siens, dont il trouve des traces dans le Ttlmrld. (Orient.) Inde. — Nous extrayons les details suivants d’une lettre adressée au · Jewish Intelligence et reproduite par le Jewish Chronicle. ' En 1716 le recensement de la population de l`i|e de Bombay È gioxâna pour résultat 161,550 habitants, dont 800 israélites in- , g nes. l Un nouveau recensement fait en 1819 donna 566,119 habi-
- tants, et sur ce chitïre t9,294 chrétiens et 1,132 israéIites...
, L’armée compte plusieurs israélites; le 19° régiment en a, je | crois, le plus grand nombre, de 70 à 80; le 4•, 2t• et 24° en ont ` chacun de 20 à 35, mais les autres corps en ont comparativement . fort peu, le cliiiïre varie de 5 ou 4 à 15 au plus. Presque tous les , soldats isrnélites de l’armée de Bombay sont nés ou ont été élevés dans leurs régiments respectifs. Dans mon corps nous avions il y a quelques années cinq ou six officiers israélites. Notre halvidai: (sergent) major appartenait aussi à cette communion, de même que plusieurs de nos tambours . et titres. Je dois dire, d’après ma propre expérience, que ces soldats ' israélites se distinguent de tous leurs camarades par leur pro- preté, leur bonne conduite et surtout par leur intelligence bien supérieure. N'était-ce leur passion excessive pour la boisson et leurs querelles alors entre eux il était bien rare d'en voir un à la salle de olice. Ils ne sglëieât pas avec les indoux et les mahométans, et vivent sépar s ’eux. Digitized ny Google
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