Aller au contenu

Page:Archives israelites 13.djvu/296

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

morceau de M. Ileyerbeer, BP 166, ai une ràie ib; Seplm. Cest quatre morceaux suffisent à. eux seuh pour usure: i ce recueil un suceù durable. Nous regrettons que les ressources hornées dont M. Nanmbourg dispose dans le personnel de m chœur, ne lui aient pas encore permis de faire exécuter cette œu- . vre remarquable de l’autcur de Robert Le Debbie. Si nous voulions citer tous les morceau dignes derernarqut contenus de cette collection, nous dépasserions les bornes dïuni article. Nous. nous cententerons de signaler le ne 162.¤•1;?'¤1tt¤' qui débute par une phrase à. Vunisson large et majeswensc; ls mélodie qui suit est franche et en même temps distinguée, etles n¤• 107 et 120, 126 et 151. qui sont fort mélodieux; ce dernier est de plus scientifique. Le n¤ 225 1:3% WJN est. fort beau. Le n° 251 f|’1hl7î‘t, qui est en quelque sorte de- venu populaire, bien que la mélodie en soit; unpeu commune, rend bien les paroles du texte. M. Naumhourg a soin de nous avertir que le n° 157 a été composé avant l’appariti0u du Prophète. Nous le félicitons sincèrement d'avoir pour plagisire nn compo- siteur tel que ll. Meyerbeerl La synagogue française doit surtout de la recunnaissnneà M. Naumbourg pour avoir réuni les clients traditionnelsqni jm- qu’aujourd‘hui, comme nous l’avons dit, dépendaient en tièremeut ducapriceou du savoir faire du_ministre ofllciant, et qui maintenant se trouvent écrits d'une manière régulière et facile à comprendre. Peut-être aurait-il mieux valu que les harmonies adaptées à ces airs fussent d’un style moins moderne; eequi faitquelqne dis- parate. Nous aurions désiré ausi retrouver ces chants antiques dans nn costume approprié à leur visage. Nous aurions préféré un moins grand luxe d‘imitatious. ll fallaitlnisser le ne 120, en- cien style tel q·u'il était. M. Lovy, à en juger par ce que nous en avons entendu, n’était ' pas un grand harmoniste, mais ses mélodies toujours heureuses et claires vont à l‘àme sans le secours d’un grand bagage scienti- fique. Sans rabaisser le mérite du ns 256 1DüD *3 et celui du 136 1111* §Dî1,'ceux qui ont entendu ll. Levy préfèrent les mémes moreeanx de ce célèbre 'Hazen. En général lescompoeitions de ce hssan conservent, mnlçë le Digitized ny Google L