Page:Archives israelites 13.djvu/300

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lil —¤— nous u’en doutons pu, serait de salntnires eletn pour In gent; des üires hrnélites et kouvevait des imitatsus ailleurs Jmqn’à présent les décisions de quelque importance prise serie comité consistorial de bienfaisance et par l‘administ·etio¤ u temple. administrations nommées par le Consistoirc, devaient être sanctionnées par lui. Il en résultait quelquefois des frott- nents, qui avaient pour suite, quandle Consistoire ne cédait pu, la retraite de membres souvent fort utiles. Pour faire cesser cette ` alternative fâcheuse, le Consistoiœ siégerait tour à tour avec ses collaborateurs du comité ot. avec ceux de lïidninistrntion du temple, et tout ce qui serait décidé dans ces réunions- le serait sans appel. (Pest ainsi que le maire siégc tantôt avec Padminà- tration de bienfaisance, tantôt avec les délégués cantonaux pour ce qui concerne les écoles, et ainsi des autres branches du servies de Parrondissctnent. Nous ne pouvons qu’engager le Consisteire i prenke cette râ- salution Econdc en bons résultats. _ Le Gonsietoirs est le produit de l'électinn; il se donne lese colla- borateurs quil croit les plus utiles. Une fois ces nominations fai- tes, il ne doit plusy avoir de luttes d'attributin¤s, ni. supériorité, ni infériorité. _ — Le Consistoire israélite de Constantine (Algérie), assermnl disposé pour les améliorations qui tendent à donner plus de rn- lluf st d'an1orité à la célébration du culte, est plus heureusement inspiré dans ses elorts pour la propagatienàss arts et de·ll’ag·ri- culture parmi ses corelgionnaires indigènes : il a sollicité i ph- sienrsreprises du gouvernement une concession du terres usent importante pour y fonder une colonie agricole israéüte reetts de- IIQNÉQ parait devoir étre bientôt accneillie;la civilisaüsn ne pour- rnit qu’y gagner. · ' — On se trom perait beaucoup si l’on croyait que les sottes idées qnirappellent un autre âge, ne puissent trouver place dans des cer- ` veaux détraqués à Paris, la ville civilisés par excellence. Derniëree · ment une famille israélite, de la rue Saint-Louis, au Marais, a été iuquiétée parle motif que voici :'l’outes les nuits, pendant que!-· que temps, on entendait un vacarme épouvantable venant duset- cond étage, et la famille en question habite le troisième. Lese- œnd étant occupé par une femme âgée, celle-ci- s’est imaginée que ce bruit avait pour cause la présence des Israëites deuil maison; c’était la semaine avant Pâques. Cette croyance abssrlw œ répandit dans le quartier et lit des dupes. Recherches faites dans la maison, à plusieurs rvpvisest, pnrle· jlopriétnire, et après internation de la pics, it ne tenu que c'était la domestique du second qui, dune du ÉGI(|I'É b·· vtnnfaeüentene, dntla üsürnpnctiv·pnestM¤n&•·ph•·ln Dagmzen ny Google