Page:Archives israelites 13.djvu/518

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512 ncmvns religieuse entente cordiale entre tous ceux qu'une même foi unit, qu’un même intérêt doit resserrer? Ne serait-ce pas un devoir et un honneur pour nous d`é'lolgner désormais toute idée de dis- corde et d"abjurer, en face de cette tombe entr’ouverte, toute tcntion exclusive et tous les souvenirs d’amertume et de désu- r nion? ` Is. (imm. LÉGINDES IIABBIMQUES , nnsss EN VBR! PIIAIQAIB. LE PARJURE PUNI ' Oil nn. nnmrrrn nr ms turns Fils d’un sage et pieux lévite (Seule noblesse israélite) , Le jeune Asser, le cœur joyeux De tous ces souvenirs heureux, Biants compagnons de son âge, Bevenait d'un lointain voyage. ll traversait d'un pas tardif Une belle et féconde plaine Lorsque soudain un cri plaintif, Qui partait d’une voix humaine Et réclamait un prompt secours, De sa marche arrêta le cours. Asser n'estimait de la vie Que les doux moments de folie, Et du plus grand roi d'lsraël Traduisait l`adage immortel En cette autre maxime impie: ox Jouir est le seul, le vrai bien, » Tout le reste, ici bas, n'est rien. ¤