Page:Archives israelites 13.djvu/526

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moindre apparence ai Ialdiol ÃGÉU thétli # ptéhüquo la e liberté civile, u comme telle, est nâsusaùcmaat un bien. Ctbian il est intolérable de voir cette funeste invention (miserable divise) pour trompe: le monde protestant.

être encore aussi populaire (so evirlely popular) qu’elle l’est parmi nous. Nous disons: pour tromper le monde protestant. e Ce n’est pas que nous sachious parfaitement qu’il y a plus d’un catholique qui s’imagine réellement étre un partisan de la « liberté religieuse, si plus d’un qui croit sincèrement que si les rôles étaient changés, et les catholique les plus forts, il serait, dans tous les cas, prit à accorder aux autres la même tolérance illimitée qu‘il d•|a¤llo par hi-uéœ. lis quel; sincère que puisse étre notre catholique psétculu tolérant Qloleratianiet), la vérité est qu‘il n’est sincère que parce qu’il ne se donne pasla peine de sonder alentivementses pro- pres convictions. — Ce qu’iI a en vue, c’est d‘imposer silence aux protestants, ou de leur persuader de le laisser tranquille; et comme assurément il ne se sent pas de haine personnelle pour eux, et qu’il se moque de leur croyance aussi cordialement qu‘il la déteste, il se persuade qu‘il dit la vérité lorsqu’il se pose comme un défenseur de la liberté religions, et qu’iI déchre que personne ne devrait être violenté aa sujet de ses convictions relgieasas - Il résulte, dans la pratique (the practical result), de ce qui précède, que quelquefois, bien que trèswarement, des protestants sont trompés, et sont prèts à donner l’accolade fraternelle ii cet allié sur lequel ils ¤’avaient point compté, e Toutefois, ils sont trompés, nousle répétons : Protestants anglais et irlan- dais! ofajoutez pas un seul instant foi à nos paroles quand vous nous enten- dez faire des protestations de libéralisme. Quand vous entendez un orateur catholique, dans quelque assemblée publique, déclarer avec solennité qu‘il se sent profondément humilié d‘av•ir àjprenùvs ÉBIIIO fois la défense du glo- rieux principe de la liberté religieuse, n`ayes pas la simplicité de le croire. Ce sont là de belles paroles, mais qui ne signilient rien; pas plus que les pro- messes d’un cnüdat parlementaire briguant les suürages des électeurs. Le ca- tholique qui parle ainsi fait du protestantisme ct non du catholicisme ; de plu, il dit une chose qui n’a pas de sm:. Dans des circonstances diïéœutes, il ne réglera pas plus sa conduite sur ses paroles, que vous ne vous réglez sur elles _ dans votre façon d’agir a son égard. — Vous demandez s’il était le maitre, et vous paruilas plus faibles, simu aumkiqaemeut, pourtant par la puissance, comment il se conduirait avec vous? Nous répondrons que ceci dépendrait entièrement des circonstances. Si la cime du catholicisme ùvai trouva quelque pnstit A la tolérance, il vous toléaerait;s’ilétdt¢.1rpddient, il nousjeüerait en prison, vous éannirait, vous mettrait à l’am•nJe, peut-étre même pfil loll pemlrait. Mais de ceci vous pouvez étre très·sssuré : Il ne vous tolérerait en aueuncas par considération pour u les glorieux principes de la liberté civüe et religieuse. a _ _ sinlulsaligisuqeutulaoconnebllevtéieheaniocbsür larel-