SH] nsuvrls quence du cœur toujours prAta.às'épancheu,, et, annttouttpeus étre, Pinébranlrble voluntéde faire décider par un qnodeles questions liturgiques que l’autorité d’un seul seraitimpuissanta i nlsoudre d’une manière décisive. Ce n’est pas, qu’on le croie bien, un idéal irréalimble dont nous venons d’oHrir le tableau ; le champ est vaste pour choisir: la France ne manque point d’honorables pasteurs : et, i tout prendre, pour dire notre pensée toute entière, si, aux yeux des personnes chargées d'élire, nul de nos rabbins en fonctions ne paraissait réunir à un degré sutiisant Pensemble des qualités que nous avons mentionnées, pourquoi ne laisserait-on pas vacante la place, jusqu'à ce qu’il se produise quelqu'un pour la remplir di- gnement. Les objections de détail qu'une telle proposition pour- rait soulever, ne sont rien auprès des avantages considérables qui en pourraient naitre : nous insisterous ime autre fois sur les di- vers aspects qu'elle présente et nous nous contenterons, pour aujourd‘hui, de supplier nos lecteurs de vouloir bien mettre en re- gard et mûrir deux choses : l’indication de la tache immense ré- servée au futur pasteur et la proposition qui termine cet article. Is. Gamm. UN HOT sun LA Pitntcnxon tsuinlil. t _ Un des plus puissantsmoyens d'action que la religion met entre les mains du rabbin, c’est, sans contredit, la prédication. Le pasteur, qui parle avec une chaleureuse conviction des vérités Sil- blimes de la religion, et qui sait donner à ses paroles pénétrantes, iucisives, une onction paternelle, une douceur patriarcale, ce pasteur ne saurait manquer de produire de l'eHet, et, par suite, d`heureux résultats au profit de la sainte loi qu’il est appelé à enseigner. - Nous voyons, en etlet, que l'homme de Dieu qui fait retentir la chaire sacrée de ses divines inspirations, avec cette mâle éloquence pleine deséve vivillante, avec cette autorité que lui donne Paustérité de sa vie privée et l’augu Slt! ministère dent
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