Page:Archives israelites 13.djvu/684

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6*18, _ wncnivnq . l de jeter une soute de pont entre celle qu’il a quittée en naissant, et celle au giron de laquelle il a été nourri, notre intérêt lui est dû, et notre sympathie lui est ac- quise d’avance. On verra dans les pages qui suivent l’autaur traiter, ou plutôt résoudre en passant, plusieurs sujets qui nous touchent de près : nos rapports avec nos concitoyens chrétiens, la valeur et l’avenir de nos croyances, les principes que notre foi représente dans le monde, les qualités et les défauts inhérents à notre caractère, tout cela fournit à l’illustre ministre qui porte dans Son propre nom les traces de son origine, un thème fécond en aperçus originaux , en développements utiles, en conseils sages : de plus, comme Phomme ' d’État est en même temps un brillant écrivain, comme le membre du Parlement est- en même temps Pauteur de Coningsby, de Sybil , de Vivi¢mQGrey, etc..., la verve et Phumour qui sont les attributs distinctifs de son talent littéraire animent la discussion. ` Nous ne voulons point, qu’on se garde de lloubliet IU seul instant, adopter —la plupart des idées de M. Bis- raèli, ini iprendne sous notne responsabilité nombre de théneies sociales, politiques et religieuses particulières à l’auteur, théories où la fantaisie du romancier vient égayer, mais non sans lui naine, la sévérité de déduc- tinœ du philosophe.: il ya plus d`un paradoxe mêlé it l plus dîuneuéaité dusle panégyriquedu tique, dans Yindioation des rapports et des·anaI»ogi•s«m·- ue la religion-mène., le Mosaîsme, et ·la religion inne de là, le Nous ,poursions prouver que laissons du Nord0nten·elles,desvertusetdres»quali-