Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/116

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leo aitwnrue . · eaacm, üei y emuuecenhaion dents, et h dueéteut vraie, üle conduirait I une coaddon idenâqne avec cale que II¤UpouI·rbutIdd¤à•etlureci=tqueleTù¤d ' aoldaue Ill’i|NÉG¢|1G ·C8|Él5lli'BBl‘§||·l‘I I peu prœ I ceci : Antigone deSooho- ( 'tbtu ¤'*tt Ulziltmt) qui

  • a race la tradition de Simon-le·Juste (ptâïn [wav), l’¤n

dea deraien membres de la grande synagogue (synagoga magma ou grande assemblée), profesae la maxime suivante: « Ne soyez pas comme des esclaves qui servent leur maitre pour gagner un · aaüe, maieseyez comme des ouvriers qui prennent I cœur les

 de leur maitre sane en attendre la récompense; alors la

vénération du ciel vous animera (Abotlt. 1 , §* 3); `• Gette leçon rédeüe aux termes signlHait‘qu’ll ne fallait pas regarder la vertu et d’autres devoirs par Pespoir de récompense ou une crainte servile de puütion, mais seulement par l’amour de Dieu et de le vertu. Deux de ses üsciples, Saùk et Baitl1os(p1f_r: n'Id•3'I)· 7 puiserent le motif pour aürmer qu’eu conséquence ai peine ni récompense ne pouvait être attendue : les Sedn- ceeueetlesùiùoaéeus durent leur orgine Icesdeuriotnmea. Comme se Saducéeus seuls nourrissaient cette idée erronuée, et comme lesilwleus, au contraire, professaient Pimmortallté de l’atue, de deux choses lfnne doit etre vraie: ouilcs Esseniens n’appertenaient pas aux Baithoséene et alors le caractère distinc- tif de ces derniers, qui comme les Saducéens formérent une

 particuliere, ainsi qu’elle ae trouve mentionnée dans `plu--

sieurs passages du Talmud, a perdu pour nous, ou, dans la " caa contraire, le Talmud leur attribue avec intention des opinions qui leur furent étrangères, dans le but de jeter le blâme d’un principe anti-social sur ceux qui considéraient la tradition orale faite a Moïse comme une ûction. Au surplus, on trouve dans le Talmud et les écritures de la Cabalah beaucoup de traces de la doctrine et des usages des És- séniens, sans mention toutefois qu’ils descendent d’eux, égale-_ ment par la raison facile à deviner qu’on ne voulait rien devoir I une secte sur laquelle, °d'apres leurs principes, pesait la tache de l’bérésie. Nous auronsplns loin, en traitant de la doctrine

Peccùn de revenir sur ce point.  * ·