. , tsaasmrss 191 taches qui Pobscurcissent, puissent briller d’un plus grand éclat; · alors le ntot de laBible sera accompli dans sa véritable acception: DLH]! UNI'? *pn¤t¤'I 1îtW Pm l'It¢1Jv‘I Tlüttil 'l'I1'ï1 mn 1111 '11'I mvù « A la place de ce que vous étiez abandonnés et hais, de sorte que personne ne passait ches vous, je vous éléverai à un éclat éternel, i la joie Mgénêrations qui se suivent. » (Isaïe, Lx, v. 15.)
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NOUVELLES. Le 16 mars, le Comité consistorial de Paris a procédé, sons la présidence de M. Isidore, grand-rabbin, à Pîuauguration ° du nouvel asile ouvert à l’enfance, rue de Iâcoujfes, n° 29. M. legrand-—rabbitt a prononcé à cette occasion quelques paroles · bien seuties. - . Lesisraélites de Paris ont déjà pu se faire une idée du biens fait de ce genre d’établissements pour la classe pauvre par _ celui qpe dirigent avec succès mesdames Seder et Mayer. Mais cet établissement, quoique vaste, était insulïisant, et le Comité, en ouvrant le nouvel asile, n’aura sans doute pas compté en vain sur la générosité des israélites de Paris. · · · - lll. Mayer Baer Manbeimer, ancien membre du Sanhédrin, président du Consistoire de Colmar, dont il a été membre de- puis 1808, vient de mourir subitement, le 18 mars , d’nne attaque d’apoplexie a Page de 68 ans. Sa mort a produit une profonde sensation à Colmar et dans le Haut-Rhin. · Nous avons souvent eu à nous élever contre les tendances rétrogrades de ce Consistoire, dont M. ltianheimer était l’âme et su r lequel il exerçait beaucoup d’inûuence' par son énergie. Mais comme homme privé et dans les relations socialesgle défunt avait une douceur de manières qui en rendait le commerce agréable, et qui lui a valu à juste titre la considération publique. Né a Uffholtz, _il habitait Colmar depuis 1832 et s’était ac- quis par sa haute probité l’estime et l’all`ection de ses concitoyens. Aussi Püuencc était-elle grande a son enterrement. On y re-
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