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Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/261

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lSlAEI,|TES« 151 été repoussée, et l’on continuera comme par le passé par le cycle annuel. g ll n'a rien été changé aux prières depuis 1:1: jusqu’à la lin de p'w. ll n’y aura plus de Mischbsrach; seulement; à la lin de la lecture de la Tora, il en sera dit un pour tous ceux qui y ont été appelés, ainsi que pour les femmes en couches et les malades, _ — Il existait dans les patentes autrichiennes sur la vente de la poudre et du salpétre une clause qui excluait du commerce de ces objets les israélites, clause qui remonte a 1807. Par ordre de l’empereur, elle a disparu. - Parmi'les legs faits par le bourguemestre Beneclte, mort récemment a Hambourg, il y en a un pour la communauté israé- lite de 15,000 mares (50,000 fr,). ° —- Sur la population de Vienne qui, selon le dernier recense- ment, est de lt77,846 ames, il y a 10,670 israélites. . . ( Gazette du Judaïsme.) ·— Les amis du rév. Isaac Leser, dernier ministre de la con- grégation de Philadelphie, lui ont offert chez M. William Florence, dans l’après·midi du 11 courant, un élégant service d’argeut, consistant en deux flacons richement ciselés, deux plateaux et six gobelets, le tout du plus élégant travail. Les plateaux et les flacons portent l’inscription suivante : Au rév. Isaac Leser, de la part de ses amis, témoignage de son zèle et de son dévouement a la cause du Judaüme en Amérique. Phil., adar 5611. . — San-Francisco, 15 novembre 1850. Extrait d’unc lettre de M. Louis Lask de cette ville à un de ses amis de Birmingham: « Nous avons formé, depuis quelques semaines, deux sociétés de bienfaisance, l’une s’appelle la premiére société degbienfaelsanre. Elle se compose de 125 membres, et la contributionmensuelle œt de 2 dollars. Elle a été formée pour secourir des étrangers arrivant ici dans un état de dénuement. Les législateurs nousüout donné l’autorisation nécessaire. Nous avons aussi un cimetière. Nous espérons que dans six mois notre société aura les fonds né- cessaires pour bâtir un hôpital. La seconde s’appelle la société d’Eureka; chaque société est indépendante de l’autre. - On écrit de la petite ville de Caidilï (Amérique) que, par suite du nombre toujours croissant des familles israélites qui viennent s’y établir, on se propose d’y coustruire,uue·syna- - gogue. La jeune communauté doit déjà un terrain pour cime- tière à la munilicence de feu le marquis de Butte, ,_ _ _ — Au moment où l’on s’occupe de l’0rnemeutation de la . synagogue de Paris, nous nous faisons un plaisir d’appeler·l_’at- ' teution de nos lecteurs sur l’établissetuent de broderies en or dirigé, 190, rue Saint-Denis, par madame Fribourg. Cette mai- son connue depuis longtemps pour ses habiles broderies en or pour le militaire et le civil, a déja confectionnéaavecbeau-