Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/332

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ses neutres pœ_ds bonne lei d’awir.reprodui t,-·dans Nvttbe sur- Joseph bemlehouda, des faits.déjà·publiés dans une note per«M. Ba- i ppport (1), . et de ne.pas avoir mentionné ce, célèbre écrivain.

 q ue  le _,critique savait fort bien être mal fondé. Mm

écri, qui renfœme 70 pages, n’a rien de commun avec la note .deM.Bap0port. qui secmpose à peine d’nue t¤en·taine·da liguer, si ce.n’est la citation d’un passage de la Lettre apaise gétige diebrabam, tits de Maimouide, pmage qui commence _ P¤¤'¤¢$`¤10î8= "DJ fltiîm Jn: tint tt:. Mais en garant les deux citations, le critique a pu se convahcre que je n'ai pas cité d’après I. Bapœort et que j’ai en moi·mme sous les yeux l’écrit dihbraham; car j’ai cité in extenso les M. B. n'avait fait qu’iudiquer par Pabréviation "t:'.•j . Il m’ew t permis aa moi aumi de lire cet opuscule et_ de le citer. ,Ie.n’avais pu trouvé, dans ma Notice, lfoecaâon de M. R., qui n’avaü rien écrit. sur. cute matiere, si ce u’e•t, comme je l’ai dit, une trentaine de lignes, dans lœquelles j’aurais été obligégie rehvœ plusieurs erreurs historiques, et de faire ob- m·ver, par exemple.- quütboulieda n’était pasuauterieurà Ben; jaünide Tudèlef mais postérieur de plus d’un àècle; que zloxieph ben-Iehouda n'ëtait pas venu `de France, mais d’Afrique, `et qu’il n’œt pas le même que m,=:·|2 n qmt ’1 mentionne .u¤ peuples loin par Abraham Maâmonidog quïhouihadj, nurt euiüô, n’a pas été eoutemporain de Maîmonide etde eipie Joseph; et n’a pu être jaloux de leur réputation de grands médecins, de tnanière à se laisser entraîner par sa. jalousie ii les caloinnier; qu'AbouI£aradj n’a fait que copier d’antres auteü¤'8· et notamment Al-Kifti Je n’auraie pu citer M. R. tester et d’eatr1ee eueere.et••ueme*deu¤et· fait de un savant detingué," sur lequel je n’a=· vais dans cette occasion d’autre avantage qu’un fait mn.- tériohcelui depoeaüordes ùcuwtsqni lâ étà baume âbles. I•`.t,qn'eat·ce qui zufurait esüû d’••trer dun IN en üteütàe devoirdo faire connaitre i um hit »iuté;- ressent que M.'B.‘a lu et cité Basnage, lequel à son tour a lu (1) Fiesta!. eIœtJ•¢u•,¢ut¢m·du ·’AreuH•,p..76«,I7. . »