tsnatvnns. ils Unpaseago arms obscur de Pbiscutien Diéhébi, dont t|·rést|Ie que la vie de Maîmouide avait été dans le plus grand danger, nous laine deviner qn’il avait dû, plus que les autrashiie, se renùe suspect au gouvernement ou même bravœ ouvertement les orùen aéveres concernant l’em·cic• des relyiona non mu- dmanea. On saitqvfun certain Abou']-‘nrab,§`vonu—d¤ Maghreb et É8YP*•»ncnusa Iaïmonide d’étre retourné au Judkeapres avoir été musulman. Dnéhébi mentionne ee personnage parmi les hommes ttluatres morts en 565 (1189) ;v il étaitde ‘Sah·taou Ceuta, et célébre comme théologien et comme poete., Sea ws sont indiqués ainsi qn’il suit: lama'!} ben-·1I|afroa’h 6en—’A6¢··
bewlbrnktm Abou"!-’Aro6 ut-Kmânt at——Sobti al-
Mcghreoi, connu sont le nom d'Ibn·Mo’trohn* (1). parlant de la rencontre qu’Abou’l·’Arab lit en Égypte du savant jeff Hoarau (2), dans ladite année 585, Dsèbébi ajoute que ce der- nier avait été mis hors la loi dans le Maghreb (3), et qu’Abo,u’l- ’Arab lui ayant 1'aitdn bien, avait été lui·méme dénoncé plus tard et obligé de prendre la fuite. Arrivé en Égypte, ll voulait parler contre le juif (Mousa); mais se trouvant un, jour-sur les bords du Nil, il fut assailli par un assassin qui leitua et le jeta dans le neuve. Il paraltrait résulter du récit de Dzéhébi, qui eat extremement confus, que Maïmonide avait été lié, dans le Magh- reb, avec !lbon’l-’Arab, chez lequel il trouva peut-être asile et protection, après avoir été mis hors lfloi. Il faudrait alors sup- poserque Malmonide avait passé aux yeux d'Abou’l—’Arab pour un bon musulman, mais que ce dernier, apres son arrivée en Égypte, voyant que Malmonide, pour lequel il s’était lui-méme (1) Voy. manuscrit arabeâe ta bibliotheque nationale, ancien fonds, n·> tea, an. 21 resto. Abea’t·’Arab est ansst mentionne par Aldlakkari anna les nous d’A»bon’t—-Arab, ben·Uo’tcIga atlmdni ot-Sabti; nuscrit arabe, ns 706, fol. 75 recto. _(2) Le texte porto Abou-Mouse, ce qui est nécessairement une faute; ear it ne peut ici etre question que de Mouse ben-Mimon, ou Mai·— tuonide. · (3) Le texte porte mgn 1133 , e’est-i·dire: it avait été permis de verser son sang. · — ,
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