Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/406

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É Ananas ag:ir·l’inmenr:e ir siècle; ne nous aüligeene pas top en appre- nmt, d’ene part, que tout récemment, dans une commune ia- nélite (1), qui jusqiieis marehait emuageœememt dans la voie du progrès,. le grand rabbüi vient ,d’abolü· le chant ÉGSÈEÉS peur rétàlirle service du eulte sur Fancien pied ;; et ne nouarè- jenismns-nous pas trop ùcertaineréorganisation préeipitanxt faite dans un sens trop avancé dans d’autres eommanaatés, nous aouernes presque tenê de due, par suite d`une indgstion fê- maneipatien politiwe. Ce n’est pas ainsi que marche le pmîrë rationnel ; après une longue nuit de ténèbres,. ce niest pas ’6- clair mais l’aua·ore qu’o¤n doit attendre pour tmuner le chemin le plus Mr. C’est surtout lucas dans notre matière; la indou des ritee·s’o- pérera;·b·ie ntôt on pourra dire qu’el}os’opè·re, et, peut-élue, dus un avenir plus rapproché qu’on ne semble lepréwir, qn’el•=ae sera opérée. Pouraotre part, nousaarons asseahit en coopérant àkciliter Vanélioration de Pimtruetion religieuse dansle son que nom venons d’i`mliquer pour lagénération naissante, aün qnfeb

 du moin s débarrœsée des dücultés élmntaires,. qui n' en

sant pas moins les pins gênantes; songeons que la fusion dd- airée, en sortant des bancs de Péeole , sera plus etieœe que œlhe qui sera .dictée»par tous les coütés du monde , recotnmanë par les autorités, ou même sanctionnée par les rabbins. S’il y a enooro quoique chose à faire , autant en faveur durcuü annuel avec ses deux rites que dans Pintérêt do la corrùùnaiatn des rites que nous avons en vue, e’•st, seleunoue, liintroduetinn fun règlement organhne qui contienne en premier lieu lies dis- poàtious rituelles relatives au commencement et à la durée h service des dilïérentes solennités , aux parties dont il sera com- posé et au mode d’e·xécution , et ensuite les dbpositions d`ordre etdepoliee pour tout ce quise rattache à ee La contien- tiuu deco règlement organique, qui doitmturellementsortüdu sein shrüonsiatoire central, et ne peut être que le résultat de longues et mères dtélàèrations, présente sans doute de grandes difticule léa, surtoutduns mn application générale aux nages et coutumes de chaque symgue en particulier; car chacune de cell~es·eî, is .qu’il s’agit d’abo|i1·, ou surtout de mo»ditierl’ordoedesd1oe¤ nietant, tient à la routine et se erampen~neà.son nuinhug (gg) m vertudc la nxaxime rabbinique Miuhug Israel Thora Jtltt mm Llïtvt, qui assimile Pusage 5 la loi. lois cette applicüion gnérale ;¤’est pœégalemœt indhpensable danetoutes ses putin Cl) A Gronîngue en Hollande, on siëge le g1·and·=-rabbin Damme, créa- turc dela eoterie des hasid|'tn’, qui, ll comme ailleurs, marche rapidenml