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6îaitn¢wîre pour répondre aceuz quise
tlematmnt c nt ilse fait que, fils du frere de M. Alexandre, ce neveu porte un autre nom que lui.
poursuivons : comme tous les jeunes gens israé-
litœ de ce temp , Alexandre reçut une éducation purement théologique et bornée à la théologie judaîque. Son père lui ayant œnonnu des e%és, l’envoya à llespèce de petite université - rahhinique de Eürth; avec toutes les économies qu’il avait pu faire pour lui, la somme dont il le munit se montait à 12 llorins, environ 80 àancs. Il üt de rapides progrès et suüit a ses besoins modestes en donnant quelques leçons. —- Il existe d’ailleurs en Ll e un usage antique et charmant, qui permet aux jeunes gens pauvres de s’iustruire et de voyager sans étre exposés a mmzir de faim ou à s’humilier pour vivre, Dès qu'uu étudiant nouveau arrive ms une ville, tous les gens un peu aisés et même ,,pauvres qui peuvent encore faire une place à leur table, le sollici- tant de vwir la prendre un iom· convenu par semaine, la semaine nctronve promptwt @1ie, et comme tous les étudiants, riches et panw, voyagent et prolitent de cet usage., chacun ,peut ae. dire: tandis que je reçois Phospitalité aujourd’hui chez jl. "'**, RB assis à la table de mon père, et c%c··hôte traits Pétndiant comme il dmire que son enfant
•··-»·A·lliaIdJ'e , tout en s’enf0nç.mt avec passion dans
hlahyrimhn sentit sa peœée a Püroit , il faut; le ensirs. %.ne.consid6ra_pas sa vocation rabbinique suüsamment mnoncés, nunrauivrejusquüu bout cette carrière. Il resta néan- Ipnius bon ltébraisaut, eut le titre de rabbi et conserva toute sa .;7k·l9·B0â~l do la-littérature sacrée et ses relations avec les sa-
nousnltaient avec intérêt et fruit. ·-— Après deux ou
-· îmis little séjour à Fiirth, il se mit a parcourir quelques villes sd Finir lûilcsnns halte a Strasbourg, où il donna également des
- .l¤®¤«d'hêh'Ha·etd’œllenwnd, cs qui- alors était encore une
et que tout savant ne savait Je ne saurais
-4üIm âlsîl de_savoir,,combien lCl6.—lEIZI1W il resta là. Il vint À Paris versie tin da 179,3. Proloudétnent atlligé des excès
il était pourtant enthousiaste dw idées_nou·- g
velles, et plein d’amour pour une nation quivenait d’aB’rauohir a
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