Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/490

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|·80 xumna second dœtiné aux hommes. Les deux tribmes sont dœsuvüs par quatre escaliers situés ses deux extrémités. Au-dœsss ü sanctuaire sont réservés les dépôts dcstinù à recevoir le ittàid desserviceset du culte. La dhosition de la Gella est celle d’une basilique : donn cdm- nes de fonte remplacent les gros points d’appui en charpente Il maçonnerie qui obstruaient la vae et rendaient les has·cot& pres- qn’i¤utiles; rïsdouse colonnes portent des cercles en fer formant anchivolles qui sont accerdà en maçonnerie. Au méme nient des chapiteaux rgne un cours de fermes linteaux formant plates- bandes destiné à recevoirle plancher des tribunes. Au-dessus de cet étage se trouvent les tribunes des hommes: dam le plancher reposentdes linteaux portés par des colonnettes en fente en nom- bœ double de cehes d e la nef, dont moitié au droit de cellesù la nefestentsnrée de maçonnerie et Fautes moitié reste visibh Enün ces colonnettes supportent le pan de bois dans lequd sal psrwes lwfenetnœ destinées à éclairer l’édifice et surleqnel parte la charpente. Aa fond du temple deux arcs de cercle viennent n réunir sur une partie droite contre laquelle sera adossé Le taber- nacle donnant entrée au œnctuaire par une grande porte à den venëtauxrecouverts d’un rideau. Le sanctuaire, de forme hémi-cir• solaire, est ·ornéàl’intérieur d’une colonnade portant des arcs sur- hsuœés. Le systéme de construction a pour base les 24 colonnœ doll nous avons déjà parlé. Ces colonnes se prolongent dans toune la hauteur du bâtiment sous forme d’arbres qui viennent recevoir les fermes de la charpente. Ces arbres sont reliés au premier étage par les Eermes linteaux dont nous avons parlé et à deux au- tces points de la hauteur par un cours de chaînes qui pourbourne le bâtiment sur trois faces, le dernier passe par·dessus l’arcds sanctuaire et pourtourne les quatre faces, les fermes bien chô- nées tiennent Pécartement qui est d’ailleurs soutenu au droit ü chacun par un src-boutant en fer. tpréseette description mmmaire, qu’il nous soit permk B jetern coup d’œil, sa point de vue de lîart, sur Pédiiice qui nous CÉ- En abœiaat la heads -nous ne pourras émçparàwm senti-