Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/520

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510 sncmvss M. Naumbourg, ministre officiant a également fait preuve de beaucoup de zèle dans cette circonstance. . Il faut regretter que tant d’efl`orts aient été faits en pure perte, pour le moment du moins. Espérons qu’un avenir prochain nous procurera à cet égard d‘amp|es dédommagements. S. Csnmv.

a MELANGES. ncnùonoern. 1.1‘7B¤ 't*D't1ft"l *8‘7*D'7 '�`7B¤ 'tD*DR'7 RUWJDR Rtflft W"! 'tmt ”I't3}7LI 'l*D1`tft'7 t*D1'Il'lt·t TP"! ptütv *‘.J’l'| "Itt 't*¤Ttmt't *Nm'|i7 2|'l'l7WRJ wb Un certain mage (RUTJDR Amgouscha) a dit à Amemar : La moitié (de ton corps) vers le haut (appartient à Hurmis ('t'*¤'t`ll"|) et la moitié vers le bas, à Ahurmis ('ttmtftw. Ce- lui-ci lui répondit: (s’il étaitainsi) comment Aburmis permettrait- il à Hormis, de faire passer l’eau dans son terrain (t) 7 Les deux principes qui figurent dans ce passage de dogma- tique persane, ont été différemment lus et interprétés par les commentateurs du Talmud. Jarchi (W1) dont la vaste érudition se trouve rarement en défaut, dans son travail immense sur le Talmud qui renferme des mots innombrables du domaine des langues et des sciences, Jarchi entend par Rtülibtt (mage) un sorcier qui prétend savoir par la magie ce qu`il vient d`avancer. Il est cependant bien connu que les mages étaient, chez les anciens Perses, les savants ou philosophes en général, et particulièrement les prêtres ou ministres de la religion (2). (1) Sanlédrin, folio 39, nm. (2) Pococke, Specimen Historia: arabica, p. 146, et Prideau Histoire des Jllfzû, [DITL Ã, ii'- III, È. I, P. 3i9 , fûlli dÉl'iVü' IG IIOÉ IIIIQB (10 |IIi$G•§ù8ll;