Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/535

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rsuturns. 525 contrainte dans l’Eglise, je remplis fidèlement les devoirs de ma nouvelle religion, sans cependant pouvoir apaiser les remords de mon abjuration. Vous savez maintenant qui je suis; et voici la faveur que je sol- licite de votre bienveillance, et Vunique retour du service que le ciel a daigné me permettre de rendre à votre communauté. Comme, en tant qu’israélite , je suis mort pour la communion d’Israël,, ordonne: qu’à perpétuité, la veille du Iom Kipur, la nuit fatale où j’ai vu la lumière du jour, on récite pour moi, dans l ’ancienne synagogue neuve à Prague, un Kadisch. Je vous accorde votre pieuse demande, répondit le Grand- Rabbin, et puisse-t-elle, avec l`aide de l’ineti`able Providence di- vine, contribuer à votre réconciliation avec vous-même. Merci, mille fois merci l s"écria le soldat; que le Dieu de vos `pères vous récompense d e cette œuvre de charité. Il se leva à ces mots, mais au moment de se retirer il s’arréta et d’une voix suf- foquée, il implora encore la bénédiction du Grand-Rabbin. Le vénérable pasteur lui posa la main sur la tête, et ne prononça que ces mots: La puissance suprême est aussi la miséricorde suprême. .D'après Pallemand. I G. Hsssn. EPIGRAMMES. ‘ ....*11*33 3331 L/17*LIJ UN R3 U`? .·p‘·m wan •‘·: 1: — ! •n•¤z'·:: ¤:m:>'·n man www urvmn H: -— Ct') .12332 LIP ll'! 'tï ·- l· I ·I a Quid lcuius plumd ? Flumcn. Quid flumincî Ventes. Quid vmto?_Mu£ier. Quid nuuliere ? Nihil (b). n 7 flY1Jt3 Bp TIT HD .ïl¥‘l7D2 R2 'tm (a) Imitédu frtnçaln de Lebrun. (6) On peut comparer A cette ancienne épigrammc, assez élégante, mais députée par une faute de quantité (mulùre). le passage du Talmud Beca- Bet/ve, 98 6 ="tD DUTND ¢|'J3 *t't‘7p¤ LI11