Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/575

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¤nw«¤¤¤· ne et, bien qu’il p0.raisse.betxre rétabli deuderoùe mala- die, nous avons, dans Fintéret de sa santé, pensé qu’il ne devrait pas user du doit incontestable qu”’il a de prêcher, tout en consta- tant que ses discours, ainsi que nousl’avons dit, et nous le répé- tons, sont généralement écrits avec pureté et contiennent de très-bonnes idées. Si, contre notre intention, Pémission de cette opinion a pu blesser M. le Grand-Rabbin, aucun de ceux qui connaissent Pattachemeut que., tout en discutant quelquefois ses opinions, nous professotls pour lui, attachement qui remoeteà Phoque où nous nous trouvions ensemble à Iegenee, il y aqua- _ rente ans, n’a pu voir dans nos paroles un manque d’égar~d, eer- tainement loin de notre pensée. , S. Canam. _ ÉLECTIONS CONSlSTORlALBS· I ·· Le l5 octobre a en iieu à Herseille le dépouiilement de votes pour l’élection dequatre membres du Consistoirc. L‘électiou a eu lieu ainsi que nousfarionsannoneé le 8 du même mois. Voici les noms qui ont réuni la majorité des sutïrages: MM. Delpuget (Adolphe) ;· Valabrègue (Jonathan) d.’Avignonj; Jacque Altaras de Galula; _ ' David de Léon Cohen. · F _ II. B. Altarœ a prononcé à œtte oeeesion Pelloclilinn BBÃVBIIE t " Mrssmuss, ` i ’ Appelë, pour la dernière fois, à Phonneur de présider ce cotlége pour ’é- ieetion de quatre membres de notre Consistoire, snrempleoemettt deoeux qui ontdonné leur démüsien, je cols devoir, en mon uwet lu non denon honorable ami et parent, M. Jacob Crémieux (seuls des démimionn¤·ire¤.||‘é~· lents), vous adresser ees quelques paroles pour remercier particulièrement nos estimables coreligionnaires de cette ville, et leur chef spirituel, notre di- rgne Grand-Rabbin, pour le concours fraternel et généreux qu’ll s nous ont neeordé etqnl nous n permis de faire régner id park, la concorde etioltes . les tmélîerations quîil nous e éteponlble de rétiiser pour h bien de team- munmté. , · Nous ÉBYOIIS 8�S8l lBIJI‘ lél'Ii0lQl'lBI‘ l't0l·l`6 l‘CCODll3lS88I'lCB POU? lé! PPCIJVGB de oonuenee qu’ils n’ont cessé de nous donner toutes les fois que le renou- vellement de nos pouvoirs les appelaient au scrutin, pendant la Iîe et üaberisnse carrière. que nous uuu parcourue. . . · _