Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/595

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tsnmnn. i 50E "' maisil ne vmtpluepreudre pertamsüairesde lacommuusuré, et I. Rnrdrnauu a été nommé commiàaire puce que penennc ne vuuüt accepter cette fonction. ·=-—-Eon: n’arons voulu parler du dernierenvr@delL ld, Notice sur Abetil-— Walid lerwan mt-hun': et sur quel- quelques autres grammairiens hébreux du x° et du IP siècle, qu’en en rendant compte. liabondance des matières nous oblige de remettre au prochain Ns un article de M. L. Wogue sur ce sa- vant travail. Les nombreux amis du savent orietmliste qui pren- nent tent. d’i¤térét i sa position, apprendront avec plaisir ge ce travail à été jugdignepur l’lnstitut d’un prix Volnev de L200 fr. ·-·-·H•ô=i•uen dans son ile, ouvrage édité per I. Amlniee Rendu , a été censuré par muuseigneur de Luçon, pures que ùns sa préface il a cité un passage de l‘Énile où Rameau fût Yéloç de ce roman. Rousseau a dit : a Puiaqtfi} . nan but. absolument des livres, il en existe un qui feurnità rrmn gré le plus heureux traité d’éducatie~n naturelle. n Uéréqu de Luçon souligne le mot naturelle, et reproche à BI. Reudude pnàarer peur nus écoles primaires uu de ces livres où le natura- limte (il souligne encore) conduit presque nécessairement à Pirupiété par Fabsence de toute religion. Gepaescge,que nous extrayous de la Revue de Vlnstructionpu- blague du t6 octobre; fournit une preuve du retour des choses dans ce monde. _Quand en 1842 le Consistoire central, après avoir adopté pour les écoles israélites de France, le remarquable ouvrage de Ben-Levi, les Maiinées du samedi , l’adressa _au ministre de l’lns· truction publique pour qu’il le sanctionnât également, cette sanction fut refusée sur le rapport d e M. Rendu, qui reprocha à cet ouvrage (destiné aux écoles israélites) d’avoir considéré la St-Barthélemy comme une tache pour la religion chrétienne., et d’avoir exprimé la doctrine israélite que tous les justes auront part à le vie future. i-- lt. H. Paral se plaint dans l e Républicain alsacien, que dans le polémique on lui a reproché sa qualité d’israélite, etil, cite avec raison les écrivains israélitcs qui font partie de la press! cenmvaeiœ.