Page:Archives israelites 1851 tome12.djvu/622

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M2 AICIIVII aüede reconnaissance qu’il est le Créateur du monde et le dis- pensatesr de tous biens..... Bt cette grande vérité, je vous le demande, oi la proclame- rons-nous publiquement , si ce n’est dans la Syn e, la msi- son commune des actions de grâces et de la prière, le lieu de réunion du peuple d‘|sraël‘l Gest ici que la voix du T0ut·Puis-· sant nous appelle comme dans d’autrestemps. à tous les retours du jour de Sabbath, elle appelait nos pères au temple de Jéru- salem. (Pest ici qu’il nous convient de professer publiquement notre conviction, a que le Seigneur est bon pour tous et que sa miséricorde s’étend à toutes ses œuvres. s (Test ici qu’il nous convient s de faire connaitre aux enfants des hommes ses actes puissants et la glorieuse majesté de son royaume; u et c’est ici e que nous devons nous pénétrer profondément de le bonté de Dieu qui, avant qu’il ordonnât au chaos de se dissiper et aux mer- veilles de la création d’apparaître, avait déjà, dans sa pensée inef- fable, couronné son œuvre par l’institution du Sabhath..;... ll a plu à notre Père, dans le ciel, de nous apprendre, par l’organe du prophète Isaïe, qu’il a voulu que nous lui soyons une nation de témoins. Dites-moi alors, mes frères, quand pon•· sonsetous mieux complaire à ce commandement divin, et quand ponvonsenous mieux nous présenter à Plrumanité comme les.té·- moins de Dieu, qu‘au jour de Sabbath, lorsque nous entrons dans notre temple commun de prière, accompagnés de nos femiueset de nos enfants; lorsque riches et pauvres sont l‘¤n i côté è l’autre, en leur titre égal de témoins du Seigneur; et lorsque tous nous nous écrions d`wn seul cœur et d’une·sonle voix: uïout oi- setl trouve zssu abri; Plsiroadelle asonnid ont elle fait eepsser seslpetîts, tels sont pour moi ms autels, 6 Ssigneundes armées, mon roi etmou Dieu ! n Nous sommes, en üet, les témoins de Dieu lorsque nous nous réunissons ainsi pour proclamer wedui i qui nosszrsndonsgrâees comme l’smi et le bienfsjteox de Pnnivsss, donquitetwient. et»qui,ù ssprnpre main,nous donznezles ¤ffran·• dœzquenous lui omsacsons , n lui dont nous invoquenrla rioœde, comme Panique et seul objd de notre uhnstisst, comm l’dque~et~·se¤l être qui puisse nauup¤·dmertnss.mgr·su»· sions, nous mettre à l’abri du danger, exaucer _nos supplications,