60 U · littllily n·lI¤••«#}l»III••t`hipttl•¤BI•· Llhieisîf dl nnntbreusec institutions philanthropiqnü; B s’)t produit INI- vent aussi par inspiration avec une spontanéité des plus tonchantes
et desgüi hüilüahlü. C’est.ainai que dans une de ses dert·ièt·es
réunions, lecotnité des Dames de l’Éeole israélite des je@ filles et de la Salle d’ asile, oolpêdola question de vetements pour les enfants pauvres de ces deux institutions a vn, tenante, cette question tranchée par des cotisations volontaires an nombre desquelles nous avons remarqué celles de Mesdames I · Auguste et Hyrtile Dupont qui, à elles seuleo, Se sont chargées d’habil|er vingt enfants. Excellente façon de trancherie nœud g«üen,·et qui xatncelle dn grand A lex•nère. • ' j · ·-·—~Dn— lit dans un journal d’Alger.: c Una cérémonie in- téressante a en lien dimanche (20 octobre) lt la synagogue de la rne Scipion: ·e’est la cérémonie de l't'm'tiattbn reZz'g:`euse des
lille: hraélites. Elle a en lieu a Alger, pour la première
hk en l8l;7, une année environ après lïgstallation du consis- `toire algérien qui en eut la premiere idée. On que les de- moiselles israéiltes sont élevées chez Miles Hartoch où H. le grandnabbin Weil va les visiter une fois par IHÉN pour leur · donner Penseignement religieux. Cette école fait les plus loà efforts, et Péducation qu'on y reçoitest a la fois brillante BI • É _ Nous avons dernièrement annoncé tÉgu’nne des élèves en Miles Hartoch a été reçue très-récemment institutrice, après nn ennnrmarqttàlwlet ,· — · , • Une nombreuse se pressait ai gagne. nn y rensarnttait M. le préht, M. la République, ill. l’Idjoint— t¤.mtti=t‘e , ots., etc. Le www un discours sur la eonditinn de la femme et il fest
élmnenee le dome qui riloh lt
(cannet la eonditim de la brnaa. — » · e a . ·. après en discottrst M, Weil tt meme à t'lttte@teiro»d• qmtqnes jeunes Elles qui ont www avec hcanooup et de netteté aux questions qui leur étaient faites. » — i — ·· Nous publierons incessamment ne ,. an
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