Page:Ardel - Coeur de sceptique.pdf/216

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— Je crois, en effet, que M. Noris vous aime, mon enfant ; et j’espère que vous serez sa femme, oui, je l’espère, dit-elle, baisant le front de Lilian.

On eût dit qu’elle gardait cependant un doute secret sur la réalisation de l’espoir que formulaient ses lèvres. Mais elle ne prononça plus un mot qui pût troubler l’enfant.