Page:Ardouin - Étude sur l’histoire d’Haïti, tome 7.djvu/514

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les citoyens de la Grande-Anse, avaient bien mérité de la patrie en reconnaissant l’autorité du Président d’Haïti. Le 25, ce corps fît un autre acte qui déclara aussi que le général Boyer et les troupes du Port-au-Prince avaient également bien mérité de la patrie, dans la journée du 24 ; et ce même jour, il se déclara en permanence, vu l’état de guerre où se trouvait le siège du gouvernement.