Page:Aristide Michel Perrot - Collection historique des ordres de chevalerie civils et militaires (1820).djvu/442

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( a6o ) logique que nous ayons choisie est tout à la fois plus commode et moins sujette à erreur que la première. Nous serons heureux si nous ayons atteint le but que nous nous proposions, celui de rendre moins obscur et de jeter quelque lueur de vérité sur ces institutions enfantées en grande partie par la superstition ou la vanité.