Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 2.djvu/106

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il ébranle la terre. C’est à toi qu’il doit l’empire du monde et que Basiléia est l’épouse de Zeus ! Hymen, ô ! hyménée, ô !

PISTHÉTÆROS.

Suivez à présent le cortège des époux, nombreuses tribus de la gent ailée, rendez-vous au palais de Zeus, au lit nuptial… Tends-moi la main, heureuse épouse, saisis mes ailes et danse avec moi. Je t’enlève doucement dans les airs avec moi.

LE CHŒUR.

Halalalé ! Io, Pæan ! Tènella ! Victoire ! ô le plus grand des dieux !

FIN DES OISEAUX