lékythe. « Pélops, fils de Tantalos, étant venu à Pisa sur de rapides coursiers… »
A perdu son petit lékythe.
Tu vois, il a encore ajusté son petit lékythe. Allons, mon bon, cède-le maintenant, à quelque prix que ce soit ; pour une obole, tu en auras un tout à fait bel et bon.
Non, non, de par Zeus ! J’ai encore bien des prologues. « Œneus dans les champs… »
A perdu son petit lékythe.
Laisse-moi d’abord dire le vers tout entier. « Œneus, dans les champs, ayant fait une abondante récolte et offert les prémices… »
A perdu son petit lékythe.
Pendant le sacrifice ? Et qui donc le lui a enlevé ?
Laisse-le, mon cher : qu’il essaie avec celui-ci. « Zeus, comme on l’a dit en toute vérité… »
Tu es perdu ; il va dire : « A perdu son petit lékythe. »